Les enfants gagnent en spontanéité au même rythme qu’ils gagnent en précision. Le geste, déjà précis et appliqué à l’atelier dessin, le devient davantage au fil des séances à l’atelier “jeu de peindre”.

Les signes de la “formulation” sont de plus en plus marqués : les arcades, les bordures, les limitations d’espace, les espaces d’eau…
Les tableaux deviennent vibrants et racontent de vraies histoires, avec des mises en scène répondant à cette nécessité intérieure qu’ils vivent au moment de créer.

Certains tableaux s’étendent désormais sur deux pages. Ça y est; le “jeu de peindre” se vit au-delà d’une feuille, sans limite, sans jugement et… en toute liberté. Un pur bonheur !

Stéphanie Wiart, Animatrice

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