Il existe 7 types de textes. Nous en avons vu beaucoup dont le texte dialogué. Un exemple parlant de texte dialogué, c’est l’interview. Pour réaliser celle-ci, nous avons besoin d’une personne à interroger, de questions à poser (et donc à préparer) et d’un moment pour la réaliser afin de prendre du plaisir à écouter la personne qu’on interrogeait.

Aujourd’hui, nous avons eu l’immense plaisir de recevoir le rayonnant Elie Badibanga afin de l’interviewer pour la sortie de son livre “Perdu, forêt noire” avec la complicité de notre Directeur qui a joué le jeu.

Elie, 15 ans, est un ancien élève de notre école primaire du Berlaymont. Il y a passé 6 ans. Ce fut un réel plaisir de le rencontrer et de faire sa connaissance dans un premier temps.

Pour suivre, nous avons entamé notre interview dans un climat d’écoute bienveillante dont voici quelques moments-clés :

– A quel âge as-tu commencé à écrire?

– A 13 ans.

– Quel est le style de ton livre?

– Héroïque Fantaisie et policier.

– Combien de pages y a-t-il dans ton livre?

– Mon livre fait 200 pages.

– Est-ce que tu as déjà eu d’autres interviews?

– Non, vous êtes les premiers!

– Est-ce que tu voulais faire passer un message?

– Oui, il y a énormément de messages que je voulais faire passer, à travers mon livre ! Mon livre parle de la famille et de ce qu’elle représente, du dépassement de soi, de la religion ou de la paix dans le monde.

– Est-ce que tu as voulu abandonner à un moment ?

– Non, à aucun moment durant mon écriture. J’étais passionné par l’écriture de mon livre. C’est au moment de l’envoi aux maisons d’édition, que j’ai un peu douté. Il m’a fallu 6 mois pour me décider.

Nous avons eu énormément de plaisir à écouter cet auteur souriant ! Nous le remercions énormément d’avoir pris le temps de nous rencontrer et de répondre à nos questions.

Suite à cette interview, certains et certaines avaient déjà l’envie, à leur tour, de prendre la plume pour emmener leurs futurs lecteurs dans des mondes qui leur appartiennent…

Vivre un type de texte en vrai, il n’y a rien de mieux !

Monsieur Pleeck